L’éventuelle fusion de l’Autorité de sûreté nucléaire et de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire conduirait à diminuer les garanties de sécurité et à éroder la confiance des Français, soulignent, dans une tribune au « Monde », le haut fonctionnaire Michel Badré et l’économiste Alain Grandjean.