« La transition écologique a un coût : celui d’une anticipation collective. En France, les outils de financement disponibles sont d’abord ceux des politiques environnementales historiques qui bénéficient, pour certaines, de flux financiers dédiés. Les autres politiques publiques intègrent diversement, et la plupart du temps très faiblement, les enjeux de la transition écologique. Quant au financement privé de cette transition, il dépend d’abord de la rentabilité offerte par le cadre économique, aujourd’hui non optimal.
[…] Le CESE recommande d’investir pour l’avenir grâce à une nouvelle étape du Grand emprunt, d’un montant au moins égal à la première phase. Le CESE invite à poursuivre la montée en puissance d’un système de financement incluant la congruence entre prélèvements assis sur une assiette écologique et aides à la transition écologique, pour financer notamment les avancées des territoires. Le CESE propose enfin de mobiliser la création monétaire au niveau national et européen.
Extraits issus de la synthèse du document.
Laisser un commentaire