Sortir du piège de la dette publique
La dette publique française agite les marchés. Comme le dit le banquier Marc Fiorentino[1] :
« Comment sait-on que la dette française est au centre des attentions des investisseurs ? Par les volumes traités. On traite actuellement sur les marchés des volumes record sur la dette française. Des volumes que nous n’avions pas vus depuis la crise de la zone euro. Juste pour vous donner une idée de l’ampleur du phénomène, il se traite chaque jour en février 16 milliards d’euros de dette française, il y a un an, c’était la moitié exactement. C’est une progression spectaculaire. Et la différence de taux avec l’Allemagne est au plus haut depuis 4 ans. »
Comment en serait-il autrement à proximité d'échéances électorales où Marine Le Pen pourrait gagner ? Et où, comme il y a 5 ans, les « marchés », dit...
